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Le monde sensible en tant qu'tre de la chair et la mtaphore

  • The Journal of Aesthetics and Science of Art
  • Abbr : JASA
  • 2007, 26(), pp.5-34
  • Publisher : 한국미학예술학회
  • Research Area : Arts and Kinesiology > Other Arts and Kinesiology

Chung Chee Eun 1

1홍익대학교

Accredited

ABSTRACT

La philosophie de Maurice Merleau-Ponty a essayé de montrer le vrai visage du monde de la perception en introduisant le corps propre dans le monde philosophique où la réflexion dominait. Mais, chez lui, le caractère ambiguë du corps propre fait céder le monde de la perception sa primauté au monde sensible. Le corps appartient au monde sensible avant d'être le corps propre. Ceci signifie que le corps devient le corps percevant en tant qu’il est à la fois le voyant et le vu. La transition au monde sensible fait naître l’ontologie de la chair chez Merleau-Ponty. A cause de son caractère relatif et divers la sensation était considérée comme ce qui est incertain par rapport à la pensée et ce à partir de quoi nous ne pouvons pas dire l’être. Alors, Merleau-Ponty renverse ce préjugé, il établit l’être de la chair et cherche la réhabilitation du sensible. L’Être de la chair ne peut être réduit à l’intérieur ni à l’extérieur, mais implique les deux. Et le corps vivant et phénoménal se montre au premier plan l'être de la chair. L'être de la chair n'est pas l’être positif que nous saisissons, il nous forme et forme notre milieu. Merleau-Ponty dit qu’aucune philosophie n'a pas parlé de la chair et qu'il peut être nommé comme l'élément s'il doit être désigné. Le phénomène du sensible, c'est-à-dire son apparaître surgit à la * Lecturer at the Myong-Gi University surface du visible par la réversibilité entre le voyant et le visible, à savoir le sentant et le sensible. Or, les deux faces de la chair qui se constitue l'envers pour un autre et qui ne peut pas être unifiés comme la bande de Möbius amènent des phénomènes infinis. La chose considérée comme être identique n'est que quelque chose où le rayon du monde passe. Finalement, la diversité du sensible est due de l'impossibilité de l'être de la chair d'être identique à lui-même, mais pour cette raison même le sensible dont nous avons l'expérience et qui est l'horizon de nos expériences possibles se lit par la diversité dans l'universel ou dans la relation de parenté. L'objet de la perception existe pour nous comme ce qui n'a pas la forme identique et qui se déborde de lui-même en se trouvant dans le monde sensible qui est la chair. En conséquence, notre expérience de l'objet doit s'accorde à l'objet de la perception qui se renouvelle dans ses apparences. Et l'expérience de l'objet doit subir l'expérience de la création. En faisant attention sur ce point, Renaud Barbaras introduit un terme nouveau, métaphoricité, à l’Être de la chair de Merleau-Ponty. Avant de déployer ceci, il remarque un préjugé ou une lacune dans la définition de métaphore qui date à Aristote. Ceci dit que la métaphore ne peut délivrer notre expérience du sensible elle-même si elle se tient encore à la pensée de la substance. Au contraire, l’expérience de l’être de la chair, celle qui s’enracine au monde sensible motive le style d’écriture qui est la métaphore et rend possible la pensée métaphorique. C’est-à-dire, dans la mesure où l'expérience de l'écriture se définit comme ce qui dessine un nouveau paysage elle ressemble à la manière par laquelle l'être de la chair se montre. Ou bien, à l'inverse, la structure de l'être de la chair n'est pas celle de l'identique mais celle de la métaphoricité.

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