Afin d'établir la traductologie, il faut d'abord se donner l'équilibre entre la théorie, la pratique et la critique de la traduction. Mais, à cause du jugement idéologique et de l'hostilité envers la théorie elle-même, la théorie de la traduction en Corée n'a pas été estimé dans sa valeur, même si elle produit, autant que la traduction en France, les enjeux et les critiques concernant ce sujet. A partir de la traduction de Kim Ansô, la tentative d'établir la théorie de la traduction en Corée est remarquablement développée notamment par ‘l'Ecole de la littératures étrangères' des années 30. A l'époque de la “l'Ecole de la littératures Etangères”, c'est la France que les traducteurs et les théoriciens ont tiré leurs attentions. Après avoir présenté les œuvres et la théorie en France, il y eut la même tentative de théorisation et la problématique posées autour de la traduction. Ainsi, à la suite de Kim Anso, les débats tels que le choix entre la traduction ‘sourcière’ et ‘cibliste’, la traduction de la culture, la traduction en métrique ont joué le rôle d'améliorer la critique et la théorie de la traduction en Corée. Jung In-seop(traduction de Sijo, donc, écrit en métrique) ou Kim Jin-seop(qui commande l'adaptation des mots culturels-étrangers en utilisant les caractères chinois), ou bien Ham Dae-hoon(la valeur et l'inséparabilité entre la culture et la traduction) ont réflechissent globalement les enjeux, l'importance et la manière de la traduction littéraire en coréen comme le faisaient Etkind ou Berman. De plus, la plupart des débats furent à la fois éfficaces et polémiques, car ils se déroulent en particulier autour de la spécificité littéraire. Ainsi, de l'Occient en Orient, cela nous montre que la théorie de la traduction n'est pas séparable de l'étude de la littérarité(comme le disait Jakobson) et que la traduction des œuvres littéraires, à la fois, forme la matière de ces études et œuvre une espace de se transférer par l'altérité. Bref, cette tentative d'établir la théorie de la traduction en vue de la spécificité littéraire n'est rien d'autre que le défi épistémologique.